Que faire ? Centre ville Namur

Vincent
Que faire ? Centre ville Namur

Musées

Situé dans un ancien hôtel de maître du vieux Namur, dans une zone piétonne, le musée présente la vie et l'oeuvre de l'artiste FÉLICIEN ROPS de ses débuts comme caricaturiste à ses travaux sataniques et sulfureux. Né en 1833 et mort en 1898, Félicien Rops a parcouru le 19e siècle, ce siècle bouleversé par le progrès industriel, l’évolution des mœurs et la modernité qui allait donner naissance au symbolisme en art. "Je passe mes jours à me contenir et j’ai de furieuses envies de briser d’un coup de tête cette martingale de conventions avec laquelle les sociétés civilisées tiennent en bride les natures primitives. […] Partir loin du “monde comme il faut” pour vivre enfin ma vie dans la fièvre et le mouvement"1. Le musée se veut le lieu d’expression de ce tempérament hors du commun, en consacrant près de 700m² aux peintures, dessins, lithographies et lettres de l'artiste. En plus de la collection permanente consacrée à Félicien Rops, le musée présente, plusieurs fois par an, des expositions temporaires sur des thématiques aussi variées que le 19e siècle et ses artistes, l’art graphique ancien ou contemporain, ainsi que certains aspects de l’œuvre ou de la vie de Rops.
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musée provincial Félicien Rops
12 Rue Fumal
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Situé dans un ancien hôtel de maître du vieux Namur, dans une zone piétonne, le musée présente la vie et l'oeuvre de l'artiste FÉLICIEN ROPS de ses débuts comme caricaturiste à ses travaux sataniques et sulfureux. Né en 1833 et mort en 1898, Félicien Rops a parcouru le 19e siècle, ce siècle bouleversé par le progrès industriel, l’évolution des mœurs et la modernité qui allait donner naissance au symbolisme en art. "Je passe mes jours à me contenir et j’ai de furieuses envies de briser d’un coup de tête cette martingale de conventions avec laquelle les sociétés civilisées tiennent en bride les natures primitives. […] Partir loin du “monde comme il faut” pour vivre enfin ma vie dans la fièvre et le mouvement"1. Le musée se veut le lieu d’expression de ce tempérament hors du commun, en consacrant près de 700m² aux peintures, dessins, lithographies et lettres de l'artiste. En plus de la collection permanente consacrée à Félicien Rops, le musée présente, plusieurs fois par an, des expositions temporaires sur des thématiques aussi variées que le 19e siècle et ses artistes, l’art graphique ancien ou contemporain, ainsi que certains aspects de l’œuvre ou de la vie de Rops.
Créé en 1964, le TreM.a – Musée des Arts anciens du Namurois est une institution muséale, reconnue en catégorie A par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il a pour principales missions de conserver, étudier et faire connaître les productions artistiques des maîtres et des ateliers des Pays-Bas Bourguignons, et – de préférence – du Namurois, du 12e au 16e siècle. Un musée centré sur l’Humain Relevant du Service des Musées et du Patrimoine Culturel de la Province de Namur, le TreM.a – Musée des Arts anciens du Namurois est une personne morale de droit public, sans but lucratif. Il est de fait fidèle à des valeurs de service public, en initiant et en soutenant des actions citoyennes intégrés au développement culturel et touristique de la province de Namur. Il place l’Humain au centre de ses collections et de son bâtiment, l’hôtel de Gaiffier d’Hestroy et de Tamison, pour que les enjeux citoyens et éthiques, rencontrés quotidiennement par tous, trouvent un écho et une réflexion grâce à l’Art et l’Histoire. C’est aussi un véritable musée multiforme et un espace collaboratif dynamique, ouvert à tous les publics. Il favorise et développe les échanges entre les visiteurs et l’équipe muséale, notamment par l’usage d’un dispositif multilingue. Il offre aussi l’opportunité de découvrir un écosystème professionnel, tant aux stagiaires qui veulent s’orienter vers les métiers de l’accueil et du tourisme, qu’aux élèves et aux étudiants des écoles secondaires et supérieures.
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Musee Provincial des Arts Anciens du Namurois
24 Rue de Fer
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Créé en 1964, le TreM.a – Musée des Arts anciens du Namurois est une institution muséale, reconnue en catégorie A par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il a pour principales missions de conserver, étudier et faire connaître les productions artistiques des maîtres et des ateliers des Pays-Bas Bourguignons, et – de préférence – du Namurois, du 12e au 16e siècle. Un musée centré sur l’Humain Relevant du Service des Musées et du Patrimoine Culturel de la Province de Namur, le TreM.a – Musée des Arts anciens du Namurois est une personne morale de droit public, sans but lucratif. Il est de fait fidèle à des valeurs de service public, en initiant et en soutenant des actions citoyennes intégrés au développement culturel et touristique de la province de Namur. Il place l’Humain au centre de ses collections et de son bâtiment, l’hôtel de Gaiffier d’Hestroy et de Tamison, pour que les enjeux citoyens et éthiques, rencontrés quotidiennement par tous, trouvent un écho et une réflexion grâce à l’Art et l’Histoire. C’est aussi un véritable musée multiforme et un espace collaboratif dynamique, ouvert à tous les publics. Il favorise et développe les échanges entre les visiteurs et l’équipe muséale, notamment par l’usage d’un dispositif multilingue. Il offre aussi l’opportunité de découvrir un écosystème professionnel, tant aux stagiaires qui veulent s’orienter vers les métiers de l’accueil et du tourisme, qu’aux élèves et aux étudiants des écoles secondaires et supérieures.
Un élégant hôtel particulier du Siècle des Lumières Le bâtiment du Musée des Arts décoratifs a été érigé au départ de l’ancien refuge de l’Abbaye de Villers-en-Brabant, mentionné dans les archives dès le 13e siècle, transformé en 1605 et racheté en 1688 par la Baronne d’Harscamp. Le plan en relief de Larcher d’Aubancourt en 1747 nous indique qu’il s’agissait d’une demeure avec un corps de bâtiment proche de la rue et une aile en retour vers l’avant au nord. Divers bâtiments de service y étaient accrochés ou proches. On voyait notamment au sud deux tourelles ainsi qu’un long passage latéral et une étroite aile à l’arrière au nord. Quelques traces, dans les caves ou les greniers, de la structure ancienne du bâtiment sont toujours visibles ainsi que la date de 1605 préservée dans les voûtes du vestibule.
Musée de Groesbeeck-de Croix
3 Rue Joseph Saintraint
Un élégant hôtel particulier du Siècle des Lumières Le bâtiment du Musée des Arts décoratifs a été érigé au départ de l’ancien refuge de l’Abbaye de Villers-en-Brabant, mentionné dans les archives dès le 13e siècle, transformé en 1605 et racheté en 1688 par la Baronne d’Harscamp. Le plan en relief de Larcher d’Aubancourt en 1747 nous indique qu’il s’agissait d’une demeure avec un corps de bâtiment proche de la rue et une aile en retour vers l’avant au nord. Divers bâtiments de service y étaient accrochés ou proches. On voyait notamment au sud deux tourelles ainsi qu’un long passage latéral et une étroite aile à l’arrière au nord. Quelques traces, dans les caves ou les greniers, de la structure ancienne du bâtiment sont toujours visibles ainsi que la date de 1605 préservée dans les voûtes du vestibule.
Le Computer Museum NAM-IP présente un riche panorama de l’évolution de l’informatique et du numérique, depuis les origines les plus lointaines, depuis la machine à statistiques d’Hollerith (datant de la fin du XIXe siècle), les machines comptables et les machines à écrire, en passant par la mécanographie à cartes perforées, les premiers ordinateurs installés en Belgique dans les années 1960’ et les ordinateurs personnels des années 1980-1990. Deux parcours sont proposés aux visiteurs : le premier est chronologique et restitue les innovations techniques et technologiques dans l’histoire, le second met à l’honneur les collections.
Computer Museum NAM-IP
Le Computer Museum NAM-IP présente un riche panorama de l’évolution de l’informatique et du numérique, depuis les origines les plus lointaines, depuis la machine à statistiques d’Hollerith (datant de la fin du XIXe siècle), les machines comptables et les machines à écrire, en passant par la mécanographie à cartes perforées, les premiers ordinateurs installés en Belgique dans les années 1960’ et les ordinateurs personnels des années 1980-1990. Deux parcours sont proposés aux visiteurs : le premier est chronologique et restitue les innovations techniques et technologiques dans l’histoire, le second met à l’honneur les collections.
En 2015, le Musée de la fraise se donne pour ambition de devenir un centre de la mémoire de la culture fraisière en Wallonie. Dans ce contexte, il a réaménagé son parcours permanent afin de permettre aux visiteurs de découvrir la fraise sous divers aspects thématiques : histoire, gastronomie, art de la table, art et folklore, agriculture et commerce.
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Strawberry Museum and Country Promotion of Wepion
1037 Chau. de Dinant
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En 2015, le Musée de la fraise se donne pour ambition de devenir un centre de la mémoire de la culture fraisière en Wallonie. Dans ce contexte, il a réaménagé son parcours permanent afin de permettre aux visiteurs de découvrir la fraise sous divers aspects thématiques : histoire, gastronomie, art de la table, art et folklore, agriculture et commerce.
Le Musée diocésain est né à la fin du XIXe siècle, dans le sillage de la Société diocésaine d’Art chrétien, quand le chanoine Sosson, professeur d’archéologie au Grand Séminaire, commence à collecter des œuvres venant de diverses paroisses du diocèse de Namur. Dès le début, l’objectif du Musée diocésain est de sauver des œuvres religieuses en péril pour les conserver et les exposer. En 1904, le musée s’installe dans une salle attenante à la cathédrale. Au gré des dons, acquisitions ou dépôts, la collection du musée s’est enrichie d’œuvres variées : peintures, sculptures, émaux, dinanderies, manuscrits, textiles, verres…
Musée diocésain
1 Place du Chapitre
Le Musée diocésain est né à la fin du XIXe siècle, dans le sillage de la Société diocésaine d’Art chrétien, quand le chanoine Sosson, professeur d’archéologie au Grand Séminaire, commence à collecter des œuvres venant de diverses paroisses du diocèse de Namur. Dès le début, l’objectif du Musée diocésain est de sauver des œuvres religieuses en péril pour les conserver et les exposer. En 1904, le musée s’installe dans une salle attenante à la cathédrale. Au gré des dons, acquisitions ou dépôts, la collection du musée s’est enrichie d’œuvres variées : peintures, sculptures, émaux, dinanderies, manuscrits, textiles, verres…

Lieux emblématiques

De style classique nuancé d’influence baroque, elle remplace la collégiale fondée en 1047. Elle est devenue cathédrale en 1559 à la suite de la création de l’Evêché de Namur par Philippe II. En 1740, détruite par l’importante crue de la Sambre, elle est reconstruite sous sa forme actuelle de 1751 à 1767.La croix à double traverse rappelle que la cathédrale détient des fragments de la vraie croix et des épines du Christ, ramenés de Constantinople en 1206. A l’intérieur, la présence d’une élévation classique à deux niveaux sur colonnes couplées, de stucs des frères Moretti mais également de tout un mobilier d’église (autels, chaire de vérité, confessionnaux, stalles, grilles, fonts baptismaux, lutrins), de sculptures et de tableaux d’époques, donnent tout son cachet à l’édifice. A la droite de la cathédrale, se situe le musée diocésain qui renferme des œuvres d’art religieux issues d’églises, abbayes et couvents du diocèse de Namur-Luxembourg.
Cathédrale Saint-Aubain
Place Saint-Aubain
De style classique nuancé d’influence baroque, elle remplace la collégiale fondée en 1047. Elle est devenue cathédrale en 1559 à la suite de la création de l’Evêché de Namur par Philippe II. En 1740, détruite par l’importante crue de la Sambre, elle est reconstruite sous sa forme actuelle de 1751 à 1767.La croix à double traverse rappelle que la cathédrale détient des fragments de la vraie croix et des épines du Christ, ramenés de Constantinople en 1206. A l’intérieur, la présence d’une élévation classique à deux niveaux sur colonnes couplées, de stucs des frères Moretti mais également de tout un mobilier d’église (autels, chaire de vérité, confessionnaux, stalles, grilles, fonts baptismaux, lutrins), de sculptures et de tableaux d’époques, donnent tout son cachet à l’édifice. A la droite de la cathédrale, se situe le musée diocésain qui renferme des œuvres d’art religieux issues d’églises, abbayes et couvents du diocèse de Namur-Luxembourg.